En Europe, la BPI France propose des prêts, garanties et aides à l’innovation pour les projets agricoles, y compris ceux à l’international.
L’Union européenne, via le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER), soutient l’installation, la modernisation et la durabilité des exploitations.
Des instruments comme Proparco (filiale de l’AFD) financent des projets agricoles privés en Afrique avec une logique d’impact.
La Banque africaine de développement (BAD) propose des lignes de crédit, subventions et cofinancements pour des projets agro-industriels ou communautaires.
Les banques de développement nationales africaines (comme la BOAD en Afrique de l’Ouest) financent des projets structurants dans l’agriculture.
Des fonds comme le FIDA (Fonds international de développement agricole) ciblent l'agriculture familiale, l’irrigation, les chaînes de valeur et la formation.
Des initiatives publiques-privées, comme Agriterra ou AgriFI, soutiennent les coopératives et PME agricoles avec assistance technique et financement.
Des institutions comme ENABEL (Belgique) ou GIZ (Allemagne) financent des projets pilotes ou des formations agricoles en Afrique.
Les fonds souverains, les programmes bilatéraux, ou encore les appels à projets de l’Union européenne sont aussi des leviers puissants.
Le bon financement dépend du type de projet (infrastructure, formation, innovation), du pays cible et des partenaires impliqués.

financement

Partenariat banques

Les partenariats avec les banques locales permettent de cofinancer des projets agricoles en s’appuyant sur la connaissance du terrain et des réalités rurales.  


Les banques de développement africaines (comme la BOAD, la BAD ou la BDEAC) proposent des prêts à long terme pour des infrastructures agricoles structurantes.  


Des partenariats publics-privés (PPP) avec les banques permettent de mutualiser les risques entre États, investisseurs et institutions financières.  


Les banques commerciales peuvent octroyer des crédits agricoles si elles sont garanties par des fonds de soutien ou des institutions comme l’AFD ou le FIDA.  


Les mécanismes de microfinance sont adaptés aux petits exploitants et permettent un accès simplifié au financement pour les intrants ou le matériel.  


Les fonds de garantie agricole (souvent en partenariat avec des banques) sécurisent les prêts et encouragent les établissements à financer le secteur.  


Les financements verts ou climatiques, portés par certaines banques, soutiennent les projets agricoles durables et résilients.  


Les coopérations tripartites (ONG + banque + État) favorisent l’émergence de projets inclusifs, formateurs et à forte valeur ajoutée locale.  


Ces partenariats doivent viser à renforcer l’autonomie des filières agricoles, en soutenant la transformation locale et la structuration des marchés.  


L’objectif final est de bâtir une agriculture souveraine, rentable et capable de nourrir durablement les populations africaines.


La LLD permet à un agriculteur de louer un équipement (tracteur, pompe, machine…) sur une durée définie, sans en devenir propriétaire.


Elle permet de bénéficier de matériel moderne sans immobiliser de capital, avec un entretien souvent inclus.


La LOA, quant à elle, permet de louer ce même matériel avec la possibilité de l’acheter à la fin du contrat à un prix prédéfini.


Ces deux formules sont idéales pour les exploitants qui débutent ou souhaitent tester un équipement avant un achat définitif.


Elles facilitent l’accès à la mécanisation, limitent l’endettement et renforcent la productivité des petites et moyennes fermes.


Ces solutions peuvent être portées par des banques, des sociétés de leasing, des coopératives ou des importateurs de matériel agricole.


Elles sont particulièrement adaptées dans les contextes où l’accès au crédit est limité ou trop contraignant.


En mutualisant le matériel au sein de coopératives agricoles, ces formules renforcent la souveraineté collective et l’autonomie locale.


La LOA peut aussi s’intégrer à des modèles de financement à impact, appuyés par des institutions de développement.


L’objectif est de permettre aux agriculteurs africains de se doter progressivement d’équipements durables et adaptés, sans dépendance extérieure.

LLD ou LOA

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